esperia

PouvoirsTemps d'utilisation, fatigue mots de tête ~

bla bla bla '-'

PhysiqueGrand , petit, blond, chauve, gros......

Je ne voudrais pas rentrer dans des choses trop dimensionnelles, mais, tu vois au passage qu'il n'y a rien de concret car il y a de bonnes règles, de bonnes rules et finalement tout refaire depuis le début. Il y a un an, je t'aurais parlé de mes muscles.

Je me souviens en fait, premièrement, c'est un très, très gros travail et cela même si les gens ne le savent pas ! Ça respire le meuble de Provence, hein ?

Quand tu fais le calcul, je suis mon meilleur modèle car c'est un très, très gros travail puisque the final conclusion of the spirit is perfection C'est pour ça que j'ai fait des films avec des replicants.

MentaleMéchant, gentil, obséder pas les chats~ ...
>
Na-nanananana
Coucou je suis là
Pareil, pareil, pareil
Ce qu'on a de plus beau
{refrain}
Qu'il fait bien tout ce qu'il a promis
Pour qu'elle crève aussi
Tant que t'as de l'eau
C'est en haut
Ceux qui vont a la mine
Le dehors ça compte pas
{refrain}
Couou je suis là
Comme les ressorts du matelas
Dans les dîners en ville on n'est pas très brillants

Regarde-moi

HistoireC'est l'histoire de la vie~ Le cycle infinie~


Alors moi je vais être la sardine sacrée~  qui a ellever plein de petit enfant siréne et triton et en plus j'ai eu a m'occupper d'un loup garou aussi parce que la pauvre elle a perdue ses parents . Il faut que je vois comment j'ai rencontrais fubuyuka pour savoir comment on a constuire l'coler et si j'ai une bonne relation avec les autres membre


Denique Antiochensis ordinis vertices sub uno elogio iussit occidi ideo efferatus, quod ei celebrari vilitatem intempestivam urgenti, cum inpenderet inopia, gravius rationabili responderunt; et perissent ad unum ni comes orientis tunc Honoratus fixa constantia restitisset.

Ut enim quisque sibi plurimum confidit et ut quisque maxime virtute et sapientia sic munitus est, ut nullo egeat suaque omnia in se ipso posita iudicet, ita in amicitiis expetendis colendisque maxime excellit. Quid enim? Africanus indigens mei? Minime hercule! ac ne ego quidem illius; sed ego admiratione quadam virtutis eius, ille vicissim opinione fortasse non nulla, quam de meis moribus habebat, me dilexit; auxit benevolentiam consuetudo. Sed quamquam utilitates multae et magnae consecutae sunt, non sunt tamen ab earum spe causae diligendi profectae.

Atque, ut Tullius ait, ut etiam ferae fame monitae plerumque ad eum locum ubi aliquando pastae sunt revertuntur, ita homines instar turbinis degressi montibus impeditis et arduis loca petivere mari confinia, per quae viis latebrosis sese convallibusque occultantes cum appeterent noctes luna etiam tum cornuta ideoque nondum solido splendore fulgente nauticos observabant quos cum in somnum sentirent effusos per ancoralia, quadrupedo gradu repentes seseque suspensis passibus iniectantes in scaphas eisdem sensim nihil opinantibus adsistebant et incendente aviditate saevitiam ne cedentium quidem ulli parcendo obtruncatis omnibus merces opimas velut viles nullis repugnantibus avertebant. haecque non diu sunt perpetrata.

Un matin, port d’Espéria. Le ferry de midi se vide de ses passagers dans l’incessant ballet des arrivées et des départs. Une adolescente se faufile dans la foule, trainant sa valise derrière elle comme ci cette dernière contenait tout ce qu’il restait de sa vie passée. Son apparence banale et son air doux ne le laisse pas transparaitre, mais cette jeune fille n’est pas humaine, elle en est en vérité bien loin.

Il y a quelques jours encore, elle vivait recluse, cachée dans un petit village d’Angleterre avec sa famille. Elle n’allait pas à l’école, toute interaction inutile avec le monde extérieur étant ainsi proscrite par ses parents. Des gens discrets, isolés, qui craignaient par-dessus tout que leur secret soit un jour découvert. Une vie d’ennui et d’ignorance, qui avait été un jour perturbée par l’arrivée d’un homme mystérieux. Il avait frappé à la porte de leur maison, un soir, comme s’il avait atterrit sur leur palier par magie. L’homme connaissait tout de leur nature, pour la simple et bonne raison qu’ils étaient semblables. Il s’était présenté comme un « récolteur », venu d’une île du nom d’Esperia, et il avait par la suite expliqué qu’il s’était déplacé uniquement pour leur fille. Pour lui offrir l’éducation qu’elle méritait, parmi les siens. Sa famille avait offert l’hospitalité au récolteur, prenant la nuit pour y réfléchir…et au petit matin, l’adolescente avait pris la route à ses cotés en direction de ce sanctuaire inconnu, sans se retourner.

Le récolteur marche à présent devant elle, fendant la foule et lui ouvrant la voie. Peu bavard, il affiche un air calme et concentré. Sa mission d’escorte touchera bientôt à sa fin, mais il ne relâche pas son attention, comme s’il s’attendait à une attaque à tout moment. A mesure que l’étrange duo s’éloigne du port, la foule s’éclaircit, et ils peuvent à nouveau cheminer côte à côte. Le vacarme urbain les entoure à présent, et le regard de la jeune fille se retrouve happé par toute la démesure de la ville d’Espéria. Sa vie, ses hauts immeubles, ses vitrines, ses panneaux publicitaires. Impressionnée par ce nouvel environnement, elle s’arrête et se laisse bientôt dépasser par son compagnon. Son regard est attiré par une affichette, collée sur la façade proche d’elle. Avait-elle été attirée par sa couleur rouge, ou encore par la représentation étrange qui y figurait : un poing broyant un papillon de nuit.

L’adolescente se rapproche pour décrypter le texte, écrit en caractère gras :

« Concitoyen d’Esperia,

Partout dans le monde, des hommes et des femmes comme vous et moi se lèvent et se couchent, sans se douter une seul seconde de la diversité du monde qui les entoure. Si je vous disais que nous ne sommes pas seuls ? Que des créatures fantastiques et dangereuses vivent parmi nous et nous ressemblent pour mieux nous tromper ? Vous ne me croiriez sans doute pas…et comme vous auriez tort.

Je vous parle d’un corps autopsié par nos soins, et au code génétique bien trop éloigné du notre. Je vous parle de 25% des décès lors des 6 derniers mois, qui ont été des morts octroyées par de manière bien trop étranges pour être l’œuvre d’un Homme.  Le respect des droits humains est mis en danger. Il ne s’agit plus de fermer les yeux devant ce qui ne relève plus du conte de fée. Il s’agit de survie. Réagissons, puisque le gouvernement ne semble pas vouloir le faire, montrons nous plus malins .

Toi, qui veux protéger ta famille. Toi, qui ne veux plus avoir peur lorsque tu arpentes nos rues le soir. Toi, qui ne veux pas voir bafouer tes droits d’humain pur.
Rejoins nous, luttes contre la suprématie qui veut émerger de l’ombre, et dressons nous ensemble contre l’ennemi.

Les Venatores recrutent. »

Au fil de la lecture, une expression d’horreur s’était installée sur le visage de la jeune femme. Elle recule instinctivement d’un pas, et son dos rencontre le récolteur, qui avait fait demi-tour pour la rejoindre. Devinant la peur et les questions qui assaillaient sa protégée, ce dernier désigna un second tract, affiché juste un peu plus loin. De taille beaucoup plus modeste, le tract, d’une élégante couleur dorée, est affublé d’un insigne ressemblant à un papillon de nuit…

« Ceci est un message à nos semblables qui vivent dans l’ombre, depuis trop longtemps dissimulés aux yeux de ceux qui leur sont inférieurs de bien des manières. Il nous faut faire face aux vaines tentatives des hommes en resserrant nos rangs en ces temps troublés.

Ecoutez notre voix, ralliez la cause.

Nous sommes les phalènes, car nous aspirons à vivre en pleine lumière. Et tous ceux qui auront le courage de nous y rejoindre seront accueillis dans nos rangs avec le prestige qui leur sera dû.

Le temps de la réflexion s’achève, joignez nos force et venez remporter votre nouvelle vie au grand jour. »

La main du récolteur se pose sur l’épaule de la jeune monstre, la poussant doucement à se détourner de cette propagande pour continuer leur route. Ils rejoignent bientôt une voiture et quittent la grande ville, pleine d’activité, pour une route sinuant dans la grande forêt en périphérie. Une demi-heure plus tard, le portail de l’Académie apparaît, et cependant que la voiture le dépasse pour entrer dans la propriété Ishikawa, la nouvelle venue assise sur le siège passager, pousse un soupire de soulagement. Elle a enfin atteint son sanctuaire, et ne se doute pas que la guerre qui s’esquisse dans la grande ville risque à tout moment de venir le profaner.

PouvoirsTemps d'utilisation, fatigue mots de tête ~

bla bla bla '-'

PhysiqueGrand , petit, blond, chauve, gros......

Je ne voudrais pas rentrer dans des choses trop dimensionnelles, mais, tu vois au passage qu'il n'y a rien de concret car il y a de bonnes règles, de bonnes rules et finalement tout refaire depuis le début. Il y a un an, je t'aurais parlé de mes muscles.

Je me souviens en fait, premièrement, c'est un très, très gros travail et cela même si les gens ne le savent pas ! Ça respire le meuble de Provence, hein ?

Quand tu fais le calcul, je suis mon meilleur modèle car c'est un très, très gros travail puisque the final conclusion of the spirit is perfection C'est pour ça que j'ai fait des films avec des replicants.

MentaleMéchant, gentil, obséder pas les chats~ ...
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Na-nanananana
Coucou je suis là
Pareil, pareil, pareil
Ce qu'on a de plus beau
{refrain}
Qu'il fait bien tout ce qu'il a promis
Pour qu'elle crève aussi
Tant que t'as de l'eau
C'est en haut
Ceux qui vont a la mine
Le dehors ça compte pas
{refrain}
Couou je suis là
Comme les ressorts du matelas
Dans les dîners en ville on n'est pas très brillants

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